
Samedi 21 novembre, nous devions accueillir Laurent Cardon et ses amis volatiles, poilus, céphalopodes et autres vertébrés. L’auteur de S’unir c’est s’accepter (éditions Père Fouettard) nous promettait un joyeux moment de partage. Avec la complicité et le soutien technique de notre partenaire Studio Fa, nous avions même enregistré une invitation en images… Comme ces moments nous manquent…
Partie remise ? Annulée ? Pas tout à fait. Laurent Cardon et ses amis sont en télé-travail et dédicaceront à distance ! Mode d’emploi : réservez votre livre et votre dédicace par téléphone au 02 99 79 20 70 ou par mail à lacourteechelle@wanadoo.fr. Et Nous vous contacterons ensuite lorsqu’il sera arrivé rue Vasselot.
Merci à Laurent Cardon pour cette formidable initiative !
S’unir c’est… Au cœur d’un poulailler, trois histoires qui questionnent, avec humour et intelligence, la vie en société et les questions de tolérance, égalité, démocratie, parentalité, solidarité…

S’UNIR C’EST S’ACCEPTER
Une histoire de poules
Coup de tonnerre au royaume des poules : Marinette veut changer de couleur de plumes !
Mais cette idée ne semble pas plaire à tout le monde. La question divise, un débat animé s’engage. Et pour éviter que la dispute ne tourne mal, elles décident d’organiser un grand carnaval où chacun pourra venir déguisé comme il le souhaite, laissant ainsi exprimer toute ses envies et sa créativité.
Que la fête commence !

S’UNIR C’EST SE RELAYER
Une histoire de poules
Couver les œufs est une affaire de première importance pour garder au chaud les futurs poussins. Mais couver, c’est aussi des contraintes et le temps paraît parfois bien long. Et si les poules s’accordent une petite pause ?

S’UNIR C’EST SE MÉLANGER
Une histoire de poules
C’est la panique au poulailler. Marcel, le coq blanc, a disparu. Un sale coup du renard, les poules en sont persuadées.
C’en est trop, les attaques incessantes du renard sont devenues insupportables. Les volatiles décident de riposter. Toutes les poules, les noires, les rousses et les blanches se rassemblent pour passer à l’action. Mais comment s’organiser ? En bataillons ? Par couleur ? Par taille ? Qui se postera aux premiers rangs de la nouvelle armée des gallinacés ? Les noires peut-être, puisque leur coq s’exprime avec tant de charisme ? Hors de question pour les poules blanches, qui veulent venger la disparition de leur bienaimé.
Elles veulent passer en premier. Et d’abord, pourquoi le commandement reviendrait-il à un mâle ?