Samedi 3 juin, à la librairie – Un moment « J’aime lire » avec la comédienne Anne Merceron

J’aime lire, le magazine emblématique de la maison Bayard, a presque 40 ans. Combien de générations d’enfants ont goûté à la lecture grâce à Tom-Tom et Nana, Ariol ou Anatole Latuile ? Et au petit plaisir d’attendre le nouveau numéro, en guettant la boite aux lettres.

Bien entourées, les équipes du magazine ont toujours défendu l’idée de la liberté de l’enfant. Il dévorent les bande-dessinées, mais il ne lit pas de romans ? J’aime lire répond : « La bande dessinée est un art de lire savamment codifié ». Ajoutant : « Il faut toujours garder en tête que lire doit être un plaisir : c’est la joie qu’il prend à lire qui doit guider votre enfant dans ses choix : plus cette joie sera grande, plus il lira ! ». Nous, ça nous plait !

Samedi 3 juin, à 17 heures, c’est donc avec un grand plaisir que nous accueillerons un « moment J’aime lire », animé par la comédienne Anne Merceron.  Lire à voix haute, écouter ensemble, partager des textes : du plaisir à la Pennac !

Gratuit, sur inscription au 02 99 79 20 70

ou par mail à lacourteechelle@wanadoo.fr

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La publication a un commentaire

  1. Philippe

    Bonjour,
    En parlant de livres jeunesse qu’ont connus des générations d’enfants, je voudrais indiquer ces articles qui évoquent une collection que nos aînés ont tant aimée : la collection  » Enfants du monde  » de Dominique Darbois avec le graphiste Pierre Pothier, chez Nathan.
    Dominique Darbois, de son vrai nom Sabret-Stern ( Stern : étoile en allemand ), d’origine juive, dut porter l’étoile jaune et fut internée au camp de Drancy, mais elle eut la chance avec sa famille d’échapper à la déportation. Elle fut une Résistante de la première heure et combattit dans les Forces Françaises Libres, mitraillette au poing, et après la guerre, s’étant fait de faux papiers pour se vieillir de cinq ans, s’engagea dans l’armée pour l’Indochine. Non pas comme correspondante de guerre, mais militaire, atteignant le grade de sous-lieutenant.
    En Guyane française elle rencontra des indigènes et surtout un gamin de six ans, Parana.  » Parana le petit Indien  » , avec un texte de Dominique Darbois et une maquette photographique innovante oeuvre de Pierre Pothier d’après ses choix de photographies à elle, fut le premier titre d’une collection qui en comptera vingt (1952 – 1978).
    Dominique Darbois se découvrit ainsi la vocation de parcourir le monde pour rencontrer et photographier des enfants de tous les pays.
    http://radio.grandpapier.org/No6-Dominique-Darbois
    L’imagier des gens /
    N°6 : DOMINIQUE DARBOIS
    https://blogs.mediapart.fr/michel-puech/blog/160914/dominique-darbois-photographe-eternelle-combattante-par-francoise-denoyelle
    Dominique Darbois, photographe, « éternelle combattante » par Françoise Denoyelle
    16 SEPT. 2014 PAR MICHEL PUECH BLOG : A L’OEIL
    https://strenae.revues.org/1386
    Dominique Darbois et la collection « Enfants du monde ». La photographie entre fiction et documentaire
    Frédérique Lemarchant
    http://indexgrafik.fr/enfants-du-monde-dominique-darbois/
    Enfants du Monde – Dominique Darbois
    23 décembre 2014 by Augustin
    Cordialement

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