Quand on a les trouilles, il suffit parfois d’en parler pour qu’elles diminuent d’intensité. Mais en parler, hum, ce n’est pas toujours facile.
Et si on les écrivait ? Et si on les écrivait en s’amusant ? Elles feraient une drôle de tête, nos trouilles, et probablement, qu’on les regarderait avec moins d’effroi et qu’au bout du compte, elles seraient un petit peu ridicules, là, sur le papier, toutes minuscules ! Chiche…
Mercredi et vendredi, les enfants qui se sont inscrits à l’atelier découvriront avec Carole Lepan le pouvoir des mots sur les trouilles. Un véritable jeu où l’écriture devient un outil joyeux !
[ Victime de son succès, l’atelier affiche complet à l’heure où nous publions ce petit article… Toutes nos excuses…]
Crédit photo © Noelle Adam